Photo : Monique Bellemare
C’est au pont couvert de l’Anse-St-Jean que se termine cette dernière semaine du mois de mai 2012. Tout semble sous contrôle à Amqui, une ville où il fait bon y vivre…
Photo : Monique Bellemare
Construit en 1931, le pont couvert de l’Anse-St-Jean est situé à Amqui, au-dessus de la rivière Matapédia, un important cours d’eau dans la région du Bas-St-Laurent. J’ignore à quoi sert ce triangle au-dessus du panneau toponymique.
Photo : Monique Bellemare
Ce pont couvert possède un pilier central doté d’une brise-glace. La structure de 145 pieds est située sur le parcours de la route de l’Anse-Saint-Jean, sur des terres qui furent cédées par Anthime Paradis.
Photo : Monique Bellemare
Le pont de l’Anse-St-Jean est éclairé le soir. On peut d’ailleurs voir l’électricité qui est branchée directement après le portique du pont couvert.
Photo : Monique Bellemare
Ce pont a été sauvé de la démolition et réparé avec des méthodes incompatibles avec ce type de structure. Il s’agit en fait d’une nouveau pont acier-bois sur lequel on a remis en place le pont couvert. La ferme n’a plus aucune utilité.
Photo : Monique Bellemare
Le nom de ce pont couvert a été modifié en janvier 1996 par la Commission de toponymie du Québec. Remarquez ces 2 adolescents à gauche qui descendent vers la rivière.
Photo : Monique Bellemare
Il faut être bien courageux pour sauter à l’eau et se baigner au milieu du mois de mai, date où ces photos ont été prises par Monique Bellemare.
Photo : Monique Bellemare
La ville d’Amqui a été proclamée officieusement la capitale des ponts couverts par le maire de l’endroit, un passionné des ponts rouges.
BONNE FIN DE SEMAINE
J’ai vu ces baigneurs effectuer plusieurs plongeons, dire que l’eau était bonne et ensuite enfourcher leurs vélos et poursuivre leur route.
Salut Monique,
encore de belles photos,
et pour le triangle en oct 2010 il était là et je ne m’en étais même pas rendu compte, il va falloir que tu trouves le pourquoi, ça va nous asticoter, jusqu’à savoir ?????
bonne fds pluvieuse
C’est mon père Théodore avec ses collègues quand il était maire de la paroisse Saint Joseph Benoit Labre qui l’a sauvé de la démolition. On voulait pour un neuf sans toit.