Les 2 derniers billets de la semaine seront consacrés à des photos prises par Pierre Duff au cours des dernières semaines. Il s’agit de clichés de ponts couverts situés dans des régions plus éloignées et dont on a moins souvent de nouvelles. Vous verrez à quel point des raquettes peuvent être utiles pour obtenir des photos qui sortent de l’ordinaire…

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Les 2 premières photos nous montrent le pont Bordeleau qui semble bien en forme. La rivière des Envies, un cours d’eau relativement calme, gèle complètement en hiver. Il est donc possible de s’y aventurer pour photographier le pont couvert sous un angle très différent.

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L’intérieur du pont Bordeleau est bien particulier avec ses poûtres peinturées en rouge jusqu’à mi-hauteur.

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Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de voir ce qui se passe sous le pont Bordeleau. Rappelons que la structure mesure 111 pieds de long.

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Nous voici maintenant au pont Louis-Gravel où les motoneigistes semblent bien apprécier la rivière Ste-Marguerite gelée.

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Il n’y a qu’une seule résidence de l’autre côté du pont et la route se termine en cul-de-sac.

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On se souvient que le pont Louis-Gravel s’était cassé en deux en 1998. Voici un beau point de vue sur les poutres d’acier qui ont par la suite été installées sous le tablier du pont afin de le solidifier.

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Nous voici rendus au pont Émile-Lapointe, une structure dont on a rarement des nouvelles en hiver. Tel que mentioné en introduction, des raquettes sont nécessaires pour accéder à ce magnifique point de vue.

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Le pont Émile-Lapointe a longtemps été considéré comme étant le dernier pont couvert de la Côte-Nord avant que les régions administratives du Québec ne soient modifiées.

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Ce pont porte le nom du propriétaire de la scierie qui a fourni l’épinette nécessaire à sa construction en 1945.

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Peu de visiteurs ont eu la chance de voir ce qui se passe sous le pont Émile-Lapointe. Merci à Pierre Duff pour les photos et ne manquez pas la suite de ce billet dès demain…

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